Immotique : l’art de révéler le potentiel d’efficacité des bâtiments

Le programme Solutions efficaces rembourse pour un temps limité jusqu’à 100 % des coûts admissibles[1] pour l’automatisation des mesures de gestion de la demande de puissance.

Peu importe les caractéristiques du bâtiment, les systèmes en place ou les contraintes opérationnelles associées au secteur d’activité, les équipes de Contrôles AC et Equans Services trouvent toujours leur angle d’attaque pour maximiser la participation de leur clientèle d’affaires à l’option GDP.

Leur arsenal repose sur trois grandes stratégies, souvent combinées :

·       Préchauffage : accumuler de la chaleur avant l’événement de pointe pour maintenir le confort pendant la période de réduction.

·       Délestage : réduire le chauffage ou cibler les charges non essentielles, comme la ventilation ou les équipements moins critiques.

·       Substitution des sources : recourir à des sources d’énergie complémentaires déjà disponibles.

« Ces séquences de contrôle sont parfois déjà en place, souligne Gabriel Mainville, ingénieur commercial – Solutions énergétiques et accompagnement à Hydro-Québec. Il suffit d’ajouter quelques paramètres à la programmation et à l’interface de l’opérateur pour les adapter à la réduction de la consommation en période de pointe hivernale. Par exemple, pour préchauffer un bâtiment de +2 °C, il suffit de changer l’heure du démarrage optimisé, combiné à un abaissement négatif de 2 °C. Pendant un événement de pointe, il faut prévoir un abaissement qui limite l’impact sur le confort des occupants et une diminution de la consigne de délestage. Après, il faut assurer une reprise graduelle pour éviter de générer une nouvelle pointe. Les événements de GDP évoluent ; voilà pourquoi une programmation dotée de paramètres flexibles est une solution pérenne, gagnante et payante.

Même si les retombées de l’option GDP ne sont plus à prouver, certaines organisations redoutent les effets des mesures sur le confort ou sur la qualité de l’air. Plusieurs pensent aussi que l’automatisation des systèmes du bâtiment est hors de leur portée ou que les économies réalisées ne justifient pas l’effort.

Dans les faits, chaque projet est adapté au contexte de l’organisation. « Même avec des contraintes importantes sur la température, sur l’indice de qualité de l’air ou sur le taux d’humidité, on compose avec ces paramètres. Que ce soit des hôpitaux ou des écoles, ou encore des gestionnaires immobiliers soumis à des obligations contractuelles particulières, chaque fois, on trouve des solutions », explique M. Moisan.

« Il y a toutes sortes de stratégies pour limiter les effets sur les occupantes et occupants, poursuit Michel Tremblay, directeur du développement des affaires à Contrôles AC. La marge de manœuvre est souvent plus grande qu’on le croit. On réussit toujours à obtenir d’excellentes réductions. »

À ces garanties s’ajoute un autre facteur rassurant : l’absence de risque financier. « L’investissement est minimal, affirme Nicolas Lacroix, directeur – Transition énergétique d’Equans Services. La clientèle ne peut rien perdre. Elle ne peut que recevoir des crédits. Elle a tout à gagner. »

Avant les premiers événements de pointe, Contrôles AC met ses solutions à l’épreuve. « Au besoin, on ajuste le tir. Quand la saison commence, tout est optimal, assure M. Tremblay. C’est rassurant pour la clientèle. »

La société Canderel peut en témoigner. « À la suite de notre inscription officielle à l’option GDP, Contrôles AC a réalisé des tests dans l’édifice Louis-Philippe-Pigeon à Québec avant la saison hivernale pour optimiser les séquences de réduction de puissance, sans compromettre le confort des occupants, ce qui démontre une approche à la fois technique et humaine », souligne Éric Lupien, gestionnaire de l’immeuble.

Les résultats parlent d’eux-mêmes : Contrôles AC affiche un taux de réussite parfait sur l’ensemble des interventions. Après une seule saison, les organisations les plus sceptiques deviennent des adeptes convaincues.

C’est le cas d’Optel Vision Inc., entreprise cliente de Contrôles AC. « Les résultats ont été à la hauteur de nos attentes, indique Sylvain Careau, gestionnaire d’inventaire IT et bâtiment. Non seulement nous avons intégré l’option GDP, mais nous avons réduit notre consommation d’énergie et notre pointe annuelle. »

L’automatisation de la gestion énergétique des bâtiments commerciaux, institutionnels et industriels ouvre inévitablement la voie à des gains majeurs. Certaines firmes immotiques vont encore plus loin. « Chez Equans Services, les services vont du diagnostic énergétique afin d’établir la feuille de route des organisations en décarbonation efficiente, à l’implantation des mesures jusqu’aux opérations de maintenance grâce des équipes techniques hautement qualifiées aux opérations de maintenance, précise Nicolas Lacroix. Nous agissons comme partenaire tout au long de la chaîne de valeur pour les projets liés à l’énergie et à l’exploitation des bâtiments afin d’assurer le succès de la démarche et l’atteinte des résultats. »

Une approche en phase avec la vision d’Hydro-Québec, qui considère les firmes immotiques comme des accélérateurs de la transition énergétique. Et les organisations en tirent des résultats durables. Avec l’accompagnement d’une firme spécialisée et le soutien technique et financier d’Hydro-Québec, elles disposent de l’appui nécessaire pour mettre en œuvre des mesures de gestion de la demande de puissance et pour profiter de crédits sur la facture en fonction de leur performance.

Vous voulez réduire vos coûts et atteindre vos objectifs de décarbonation efficiente ? Faites appel à une firme immotique pour vous assurer d’une solution optimale.

Pour en apprendre plus sur le rôle d’une firme immotique, complétez votre lecture avec l’article : Firmes d’immotique : un levier stratégique pour optimiser vos coûts énergétiques.